Fleurs artificielles

Publié le

Saviez-vous que les Sœurs grises de Montréal faisaient des fleurs artificielles? Comme les cierges, les petits Jésus de cire et les vêtements liturgiques qu’elles fabriquaient, les fleurs artificielles représentaient une source de revenus supplémentaires pour la congrégation. Elles étaient surtout vendues aux paroisses et à d’autres congrégations religieuses (notamment masculines). Les fleurs artificielles en cire ou en tissu remplaçaient, entre autres, les fleurs fraîches sur les autels. Elles étaient également utilisées dans la fabrication de reliquaires et pour les besoins internes de la congrégation. En cette deuxième journée de la MuseumWeek, nous vous invitons à faire une petite activité en famille et à fabriquer vous aussi des fleurs artificielles, en papier, cette fois.

Pour télécharger la feuille d’activité en format pdf facile à imprimer, c’est ici: https://bit.ly/2yQjgLR

ASGM L082-G6,09, Atelier de fleurs artificielles de la maison mère, 1930
Bouquet de fleurs artificielles fabriqué à la maison mère des Sœurs grises de Montréal, 19e siècle, Collections des Sœurs grises de Montréal, 1993.I.211
Bouquet de fleurs artificielles fabriqué par sœur Zoé Beaudry, s.g.m., po 1871 an 1895, Collections des Sœurs grises de Montréal, 1983.I.145
Poinçon d’artisanat utilisé à l’atelier de fleurs artificielles de la maison mère jusqu’à sa fermeture en 1938, Collections des Sœurs grises de Montréal, 1974.H.195